Comment ça pas mal les Bzez Apex ? Qui est la streameuse et l'origine de ce meme ?

D'où vient la vidéo légendaire "Comment ça pas mal les Bzez Apex ?" et quelles sont ses origines ? On revient sur ce meme qui est plus triste qu'il n'y paraît.

Un "meme" est une image ou une vidéo qui se propage d'une personne à une autre à travers internet. Les memes peuvent prendre de nombreuses formes, mais ils sont généralement associés à des images, des vidéos, des phrases ou des idées qui se répandent rapidement sur Internet et dans la culture populaire.

Parmi ces meme, on retrouve le légendaire "Comment ça pas mal les Bzez Apex ?", lancée par une streameuse en réponse à un commentaire qu'elle a reçu lors d'un live sur Twitch. Cette phrase bien que très drôle, cache en vérité une origine triste issu du harcèlement et du sexisme que subissent les femmes. On revient sur cette vidéo légendaire dans cet article.

Comment ça pas mal les Bzes Apex ? Revenons sur une des vidéos les plus iconiques de l'internet Français

Pour ceux qui ne la connaîtraient pas, voici l'extrait de la vidéo qui a fait fureur sur internet : 

Il s'agit de la streameuse "Loupiote3" qui possède un peu plus de 65 k de followers sur Twitch. Elle est connue pour ses streams Valorant, Loupiote est même ambassadrice pour Intel France et la In game leadeuse pour la Team Zerance.

Cette vidéo qui est devenue virale est en fait une belle démonstration du harcèlement quotidien que subissent les streameuses. Une simple épaule dénudée ou un décolleté en été, et ce sont des milliers de commentaires déplacés qui déferlent sur les réseaux. 

Loupiote s'est d'ailleurs exprimée de nombreuses fois sur le sujet en dénonçant ce harcèlement et ce sexisme qu'elle a subi depuis lors.

La plupart des streameuses aujourd'hui font attention à leur tenue vestimentaire, mais Loupiote a décidé d'outrepasser cela et de s'habiller comme elle le souhaite. L'origine du meme "Pas mal les bzezs" est donc triste et reflète une réalité cruelle d'internet : le sexisme omniprésent sur internet.