Preview TOWA : un roguelite qui rend addict dès les premières games ?
Les amateurs de roguelites le savent : il suffit parfois d’une poignée de parties pour se laisser happer par un univers. Avec TOWA, on retrouve exactement cette sensation d’addiction douce-amère, celle qui vous pousse à relancer une run “juste pour voir” avant de réaliser qu’une heure a déjà filé. Entre ambiance mystique, combats nerveux et une direction artistique inspirée, ce titre pourrait bien devenir la nouvelle coqueluche du genre.
Notre avis après la preview de TOWA : Un monde mystique à explorer !
L’histoire nous plonge dans le village de Shinju, menacé par les forces corrompues de Magatsu. Vous incarnez Towa, accompagnée des enfants célestes, de jeunes alliés dotés de pouvoirs uniques et intimement liés aux sabres qu’ils manient. Le cadre est à la fois poétique et sombre : une terre où se côtoient beauté sauvage et chaos imminent, un décor qui donne envie d’explorer chaque recoin, même au prix d’un énième combat perdu.
Ce contraste entre merveille et danger est l’une des forces du jeu. Là où certains roguelites privilégient l’action pure, TOWA mise aussi sur son univers et ses personnages pour capter l’attention.
Des combats qui promettent de la variété !
Au cœur du gameplay, on retrouve la complémentarité entre Towa et un enfant céleste. Armés d’un sabre sacré (Tsurugi) ou d’un bâton mystique (Kagura), les duos offrent des styles radicalement différents. Chaque enfant céleste possède ses propres capacités, ce qui pousse à expérimenter et à tester des combinaisons inédites.
C’est là que se cache le potentiel addictif de TOWA : on veut voir ce qu’il se passe en associant tel sabre à tel compagnon, découvrir quelles synergies ouvrent la voie à une run plus longue, plus intense… et bien sûr, plus gratifiante.
Un habillage sonore et visuel soigné
Impossible de parler de TOWA sans évoquer la bande-son signée Hitoshi Sakimoto, compositeur culte qui a notamment marqué les joueurs avec Final Fantasy Tactics ou Valkyria Chronicles. Ses mélodies donnent au jeu une atmosphère envoûtante, presque solennelle, qui accompagne parfaitement l’exploration et les combats.
Visuellement, les environnements sont pensés comme des fresques vivantes : forêts denses, ruines ancestrales, terres rongées par la corruption… Chaque décor raconte une histoire et participe à l’immersion.
Pourquoi on a envie d’y croire ?
Bien sûr, difficile de juger en profondeur sans des dizaines d'heures de jeu. Mais sur le papier, TOWA coche toutes les cases du roguelite séduisant : un univers fort, des mécaniques de combat variées, une dimension stratégique liée aux combinaisons de compagnons, et une direction artistique qui donne une vraie personnalité au titre.
Si la promesse est tenue, TOWA pourrait se glisser dans la liste des roguelites qui ne quittent plus notre bibliothèque, aux côtés de références comme Hades ou Dead Cells. Et si jamais vous pensiez pouvoir n’y consacrer que “quelques parties”, préparez-vous à voir vos soirées disparaître dans les flammes d’un sabre céleste.

