Il se fait ban de Rainbow 6 puis envoie le SWAT chez Ubisoft pour se venger !
On vient de vous le dire, les questions de toxicité et de triches sur les jeux compétitifs en ligne ne sont malheureusement pas un problème facile à résoudre et dans ce domaine, Rainbow Six: Siege n’est pas le seul jeu qui doit lutter.
En effet, on pense forcément à des jeux comme League of Legends ou Counter-Strike qui cherchent de nouvelles façons de rendre leur jeu
plus agréable pour tout le monde. Sauf que ces bans peuvent parfois faire sortir certains joueurs de leurs gonds !
Il se venge d’Ubisoft après un ban !
Toute cette histoire, elle commence en 2020 quand un jeune joueur français de Rainbow Six décide de tricher en utilisant des logiciels. Rapidement, il est détecté par le
système.
La sanction ne tarde donc pas à tomber et dans ce genre de cas, cette dernière est simple, c’est le bannissement définitif. On pourrait alors se dire que l’histoire se serait
arrêtée là.
Il a tenté, il a raté et n’a plus qu’à tout recommencer à zéro. Sauf que ce n’était pas la première fois que ce joueur se faisait bannir du jeu et à chaque fois c’était pour
triche.
Ce dernier a alors décidé de se venger d’Ubisoft pour ces bans. Il a alors préparé son coup en essayant de masquer ses traces lors d’un appel qu’il a passé à la police
canadienne.
Lors de cet appel, ce dernier indique qu’une prise d’otages a lieu dans les locaux de l’éditeur. La police prend alors cet appel très au sérieux et envoie ses services
d’intervention avant de se rendre compte que tout cela n’est qu’une blague.
Ubisoft a subi un swatting et ne compte pas laisser cette histoire redescendre. Une enquête est menée et elle remonte jusqu’au jeune homme qui a été jugé il y a quelques
jours.
Lors de ce jugement, on a par exemple appris que ce n’était pas la première fois que ce dernier s’était vengé auprès d’un éditeur de jeu. En effet, il aurait proféré des menaces envers les
développeurs de Minecraft.
En plus de cela, il aurait aussi mené une attaque DDoS sur une plateforme gouvernementale française. Il a logiquement été jugé coupable et a été condamné à trois ans de prison et une
obligation de soins.
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