Boobie Ike, c’est Vice City en personne. Toujours tiré à quatre épingles, sourire en coin, et avec un flair inégalé pour flairer les bons coups — qu’ils soient
légaux… ou pas tout à fait. Boobie n’est pas juste un mec qui a survécu à la rue : c’est un homme d’affaires, un vrai, qui a réussi là où beaucoup se sont cassé les dents. Le crime, il connaît. Mais
il a surtout su s’en servir pour bâtir un empire.
GTA 6 : Boobie Ike, le parrain au sourire d’or de Vice City qu’on découvre enfin en profondeur !
Aujourd’hui, Boobie possède de tout : un club de strip-tease qui fait salle comble tous les soirs, des biens immobiliers bien placés, et un studio d’enregistrement
flambant neuf qui crache du son toute la journée. Il n’a pas abandonné la rue — il l’a transformée. L’argent du club finance le studio, les connexions du passé alimentent le reste,
et tout le monde est content. Ou presque. Parce que Boobie, sous ses airs détendus, ne rigole pas quand il s’agit de business. Il veut de la qualité, du concret. Pas question de se contenter de
produits bas de gamme ou de sons jetables.
Derrière le sourire et les punchlines, Boobie est un perfectionniste. Et c’est justement pour ça qu’il mise autant sur Only Raw Records, le label qu’il développe avec Dre’Quan, un prodige de la musique aussi ambitieux que lui. Le duo ne lâche rien. Ils veulent un hit. Pas un petit son
qui buzz un week-end, non : un vrai tube, capable de mettre Vice City à genoux et de faire exploser le label. L’objectif est clair : passer à la vitesse supérieure et graver leur nom dans l’histoire
du son comme dans celle du business.
Boobie Ike, c’est le « Jack of Hearts ». Charmeur, imprévisible, mais toujours prêt à sortir l’atout qui change tout. Il a fait de la rue une rampe de lancement, et
maintenant, il vise les étoiles. Avec lui, ce n’est jamais juste une question d’argent ou de pouvoir. C’est une question de respect. Et dans Vice City, peu de gens en ont autant que lui.
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