Directx11 ou Directx12 : Quelle API choisir pour jouer à Where Winds Meet sur PC ?

Dans ce guide, on vous explique pourquoi Where Winds Meet propose un lancement en DirectX 11 et DirectX 12, comment chaque API influence les performances, les saccades et l’accès aux technologies d’upscaling, et dans quels cas il vaut mieux privilégier l’une ou l’autre pour obtenir la meilleure expérience possible sur PC.

Au premier lancement de Where Winds Meet sur PC, une question apparaît, vous proposant d'opter pour la version DirectX 11 ou DirectX 12. Dans ce guide, je vous propose un tour d’horizon clair et structuré pour comprendre comment le moteur du jeu exploite DX11 et DX12, quand profiter des gains de performances de la version moderne, et quand il vaut mieux revenir à la solution de secours.

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DX12, pas toujours le plus stable

Dans la majorité des situations, DirectX 12 s’impose. Il permet au jeu d’afficher de meilleures performances brutes et surtout d’activer le duo DLSS + génération d’images, incontournable pour les cartes RTX récentes. Sur une configuration typique en 1080p, le préréglage Ultra atteint environ 60 images par seconde sans upscaling, et grimpe facilement vers les 90–100 fps avec DLSS. Les cartes Intel, quant à elles, gèrent bien le DX12, même sans traitement d'image supplémentaire.

Mais DX12 n’est pas exempt de défauts. Le jeu souffre encore de saccades imprévisibles, parfois assez violentes pour donner l'impression d'un crash imminent. Dans certains cas, repasser donc sur DX11 réduit légèrement ces irrégularités ou diminue les plantages, d’où l’existence d’un second chemin de lancement.

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Upscaling et limites visuelles

La plus grande différence entre les deux API se situe dans l’accès aux technologies d’upscaling. Sous DX12 seulement, toutes les options modernes sont disponibles :

  • DLSS complet pour les cartes Nvidia,

  • FSR dans tous ses modes,

  • Génération d’images Nvidia (DLSS Frame Generation),

  • Insertion d’images FSR

Sous DX11, la situation est simple : seul le FSR “classique” fonctionne. Si vous jouez sur une RTX 30 ou 40 et souhaitez profiter du frame generation, DX12 devient obligatoire. À l’inverse, les joueurs AMD ou Intel qui n’utilisent que l’upscaling FSR peuvent théoriquement rester sur DX11, même si DX12 garde généralement l’avantage en performances.

Il faut également garder en tête que ni DX11 ni DX12 ne corrigent les imperfections visuelles internes au jeu.

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Comment choisir et quels réglages privilégier ?

La règle générale est simple : testez d’abord DX12. C’est le mode optimisé, le plus complet et celui qui débloque les meilleures technologies. Vous ne devriez envisager DX11 que si vous rencontrez des plantages récurrents ou des saccades.

Une fois ce choix fait, les réglages les plus efficaces pour alléger la charge tout en préservant l’image sont :

  • désactiver le flou cinétique,

  • utiliser DLSS Qualité (ou FSR Qualité selon votre GPU),

  • réduire la tesselation et la densité de végétation,

  • placer les reflets sur “Moyen”

Sur une configuration moderne, ces ajustements suffisent généralement à stabiliser le jeu autour de 80 fps, voire au-delà avec la génération d’images DLSS.

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