Avec l’arrivée de Vessel of Hatred, la nouvelle expansion très attendue de Diablo IV, Blizzard fait à nouveau vibrer la corde sensible des fans. Entre la menace
croissante de Mephisto, de nouvelles zones mystérieuses à explorer et une classe inédite à maîtriser, cette
expansion promet encore une fois d’impressionner les fans.
Un jour avant la sortie de l’extension, nous avons eu la chance de nous entretenir avec Eleni Rivera-Colon, Conceptrice narratif associé et Chris Ryder directeur artistique de
Diablo 4.
Le retour de Nahantu, un rework très attendu depuis Diablo 2 !
L’une des nouveautés les plus intrigantes de Vessel of Hatred est l’introduction, ou plutôt la réintroduction de Nahantu, une région jusqu’alors inaccessible de
Sanctuary, dévoilée aux joueurs pour la première fois. Longtemps cachée derrière des frontières infranchissables, Nahantu abrite les mystérieux Sacresprit, des guerriers
dont la force est amplifiée par des esprits gardiens. Ces frontières ne s’ouvrent cependant pas sans raison, comme le révèle Eleni dans notre interview :
« Il y a cette idée que les choses escaladent rapidement, et Nahantu se trouve désormais confrontée à une menace si importante qu’ils doivent ouvrir leurs frontières pour recevoir de
l’aide, »
Avec cette menace grandissante, Nahantu devient une terre de défis, mais aussi de découvertes pour les joueurs qui devront naviguer entre cette nouvelle culture et les épreuves
qui attendent les Spiritborn.
Les Spiritborns ou Sacresprit, c’est qui et c’est quoi ?
Une des grandes révélations de Vessel of Hatred est bien sûr la nouvelle classe jouable : les Spiritborn. Ces combattants se démarquent par leur maîtrise des arts martiaux, mais
aussi par leur capacité unique à canaliser la puissance des esprits gardiens pour décupler leurs compétences au combat. Ils sont à la fois rapides et agiles, mais peuvent également invoquer
des esprits tels que celui de l’ours, augmentant ainsi leur force et leur résistance.
« Les Sacresprit sont uniques dans leur spécialité des arts martiaux, qu’ils lient à la puissance du royaume spirituel. Cela leur permet d’exceller à la fois en combat rapproché et à
distance, en fonction des esprits qu’ils invoquent, » explique Chris Ryder.
Cette nouvelle classe promet d’offrir des mécaniques de jeu innovantes et on vous propose d’ores et déjà un guide de leveling complet pour passer au niveau
max.
Mephisto, un ennemi en cage qui cause quand même des ravages
Mais derrière toute cette nouveauté se cache une menace bien familière : Mephisto. Le Seigneur de la Haine joue un rôle central dans Vessel of Hatred, et sa simple présence suffit
à provoquer une corruption rampante qui s’étend bien au-delà des frontières de Nahantu. Les joueurs devront se préparer à affronter l’une des forces les plus redoutées de l’univers
Diablo, tout en déjouant les machinations de Narelle, une figure énigmatique aux motivations ambiguës.
« Le défi est de savoir comment affronter une entité aussi puissante que Mephisto. Narelle a un plan, mais comme dans toute bonne histoire de Diablo, les choses ne se déroulent jamais comme
prévu, » nous raconte Eleni
Du côté de Nahantu, certains gardiens et forces occultes se réveillent uniquement dû à la présence de ce seigneur du mal.
Les fans de Diablo 2 en extase avec le retour de Nahantu !
Pour les amateurs de Diablo II, Vessel of Hatred est un véritable hommage aux racines de la franchise. En plus d’introduire de nouveaux personnages et lieux, l’expansion
fait également revivre d’anciens personnages et régions iconiques de Diablo II. Les joueurs pourront explorer des environnements familiers tout en découvrant de nouveaux secrets
enfouis dans les terres de Nahantu.
« Les joueurs de Diablo II retrouveront des visages familiers, mais également des lieux iconiques réinventés dans cette nouvelle vision du jeu. C’est une véritable passerelle entre le passé et
l’avenir de Diablo, » explique Chris.x
Pourquoi une cinématique Live Action ?
Une autre surprise de cette extension réside dans l’usage inédit de cinématiques en live-action, un choix inattendu pour un studio réputé pour ses animations époustouflantes.
Blizzard semble vouloir offrir une nouvelle dimension aux joueurs avec cette technique. Inspirée par le travail de Chloe Zhao sur la cinématique de lancement de Diablo IV,
l’équipe souhaitait ancrer l’expérience dans un réalisme saisissant :
« Il y a quelque chose de fascinant à prendre un RPG comme Diablo et le transposer dans notre monde réel pour montrer aux joueurs à quoi ressemblerait cet univers fantastique
dans notre réalité, » explique un des développeurs.
Qu’on aime ou non, une chose est certaine : voir une cinématique en live action de ce calibre donne vraiment envie de voir des films, ou des séries, issues des univers de
Blizzard. Merci encore à l’équipe de Diablo et à l’agence Cartel d’avoir accepté et d’avoir rendu cette interview possible. Sur ce, n’attendez plus pour jouer puisque Vessel of Hatred est
disponible depuis aujourd’hui sur Diablo 4 !
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